Le blog de sarah travlope

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"Je suis sarah, lope cocue par sa Femme et Maîtresse. J'assume entièrement ce statut et cette condition due et mon impuissance et mon incompétence à remplir le rôle de mâle. Il est en effet normal que ma Femme, être supérieure, aille trouver chez les vrais hommes le plaisir et l'orgasme que je ne saurais lui offrir. C'est pour cette raison que j'ai souhaité, depuis quelques temps maintenant, que ma Maîtresse m'impose définitivement un cocufiage régulier. En conséquence et n'ayant de toute façon plus les atouts physiques pour changer ma situation, j'ai reçu l'interdiction de baiser avec ma Femme, la laissant ainsi totalement libre de coucher avec autant d'amants qu'Elle le désire. Ma Maîtresse m'autorise toutefois à assister à ses ébats sexuels afin que je puisse contempler la virilité d'un vrai mâle et prendre plaisir la voir jouir. Cocufiage et chasteté sont donc désormais les maître-mots qui font de mon quotidien une vie de vulgaire lopette soumise"
Dim 22 jui 2012 10 commentaires

Ohhhhhh ouiiiii Sarah chérie mais moi je te désire et je veux assister avec toi à ton cocufiage pour prendre ton clito dans ma bouche et sucer ton trou d'amour. Bises amoureuses d'une putain à sa chienne Sarah

Jeanne travestie - le 22/07/2012 à 09h44

Mon MAITRE Steve attends que ça de me voir avec une autre lope entrain de nous gouiné

sarah travlope

Je vois que la lope soumise et impuissante a obéis à son MAITRE..

Tu es une une bonne salope sarah, une vraie fiotte, et ton cocufiage est bien mérité!!!!!

steve - le 22/07/2012 à 23h29

Merci MAITRE Steve

Une bonne lope soumise dois faire se que son maitre demande

sarah travlope

Bonjour
 
Je viens de découvrir ce que je suis vraiment. Un sous homme. Je n’avais pas conscience de cela jusqu'à présent. Je savais que j’étais soumis à ma femme mais je pensais que je faisais cela par amour mais je réalise que c’est aussi parce que j’ai une petite bite. Sans réellement donner dans la domination, ma femme m’a fait glisser vers l’état de carpette. Tout commença le jour où elle me dit que j’avais un zizi de petit garçon, lui demandant pourquoi ? Elle répondit qu’il était tout petit. Quelques jours plus tard, elle me demanda de m’épiler le pubis, devant mon refus elle se fâcha très fort. Je lui demandais alors pourquoi elle voulait m’épiler, elle me dit alors que, vu la  taille de mon pénis, il ne méritait pas d’avoir des poils, seuls les vrais hommes pouvaient avoir des poils et que si je refusais, nous ne ferions plus l’amour. Devant une telle menace, je finis par accepter. Elle se mit alors à préparer la cire afin de m’épiler à l’orientale. Ce fut pour moi un véritable supplice. J’avais la peau brûlante et arrachée sur certains endroits de mes testicules. J’étais honteux de me voir dans cet état et furieux d’avoir accepté. Mais le pire était à venir.

Trois jours plus tard, elle voulut que nous allions sur une plage où le naturisme était accepté. Je lui dis que c’était une drôle d’idée mais elle insista. Arrivés sur la plage, je m’aperçus qu’elle n’avait pas amené mon maillot, je le lui fis remarquer, elle me répondit que c’était normal. Vu les ridicules petites choses que j’avais entre les jambes, ça ne devrait poser aucun problème sur cette plage. Il était clair qu’elle cherchait à m’humilier. Ce qu’elle ne se priva pas de faire, m’obligeant a être en permanence sur le dos, mes parties exposée a tous les regards. Elle me fit traverser la plage plusieurs fois pour aller lui chercher à boire. Sentant les regards narquois se porter sur mes petites choses, le rouge me montait aux joues à chaque traversée. Chaque fois qu’un homme bien membré passait prés de nous, elle ne manquait pas de me le faire remarquer en me disant : regarde un vrai homme ; je ne la reconnaissais pas et je vécus une véritable journée d’humiliation.

Le soir, elle voulut faire l’amour dans des positions inadaptées à mes mensurations, pour me dire que mon truc était trop petit. Il en fut ainsi pendant six mois jusqu’au jour où elle refusa de me faire l’amour. Et elle employa la méthode la plus brutale pour me le faire comprendre. Alors qu’un soir je m’approchais d’elle en érection, elle empoigna mes petites couilles dans une de ses mains et me les écrasa violemment. Alors que la douleur dévorait mes petites choses, elle fit de même avec mon gland, déclanchant une  éjaculation que je ne pus retenir. Elle me dit en écrasant mes testicules de plus en plus fort qu’elle ne voulait plus me voir ainsi, que c’est elle seule qui déciderait quand nous ferions l’amour, qu’elle n’accepterait que les érections provoquées par elle. Elle serra mes couilles une dernière fois en tirant violemment dessus, ce qui me fit me tordre de douleur et tomber par terre. « J’espère que tu as compris » me dit-elle en tournant les talons. Apres quelque pas, elle fit demi tour et revint vers moi, posa son pied sur mes testicules et me dit tout en les écrasant « maintenant, tu vas nettoyer tes cochonneries ». Honteux je m’exécutais puis partis me coucher, le bas ventre ravagé par la douleur.

A partir de ce jour, elle décida de me mettre à l’abstinence sur des cycles de plus en plus longs en  réprimant toutes velléités d’érection de ma part par un écrasement de mes testicules en règle, même mes érections matinales étaient  châtiées. D’humiliations en  frustrations, je fini par être impuissant après un an. Une thérapie chez une psycho sexologue m’apprit que j’avais été châtré psychologiquement et que la seule solution était de quitter ma femme. Chose à laquelle je ne pus me résoudre car j’aimais beaucoup mon épouse malgré tout. Après en avoir parlé avec ma femme, elle accepta de me garder si j’étais gentil, ce qui voulait dire, me plier à tous ses désirs et tout accepter, c’était à prendre ou à laisser. J’acceptais ses conditions par amour du moins, c’est ce que je pensais.

Quelques semaines plus tard, j’avais une douleur persistantes aux testicules due à une correction un peu trop forte, elle m’emmena chez sa doctoresse (une amie à elle) pour me faire ausculter.  Lorsque celle-ci me demanda de me déshabiller, je fus pris d’une sorte de panique, ma pauvre petite bite qui n’est déjà pas bien grosse se ratatina encore plus. Lorsque la doctoresse vit mes petites choses, elle  regarda ma femme du coin de l’œil en disant : hé bien ma pauvre !  Tout en palpant mes testicules, elle demanda alors a ma femme depuis combien de temps je n’avais pas fait l’amour.
Ma femme répondit : depuis plus d’un an
La doctoresse dit que c’était beaucoup trop long, que ce n’était pas bon
Ma femme répliqua que j’étais impuissant et qu’elle m’avait castré psychologiquement.
Pourquoi ? demanda la doctoresse
Pour ne pas qu’il me casse les pieds trop souvent et pour ne pas qu’il me trompe, dit ma femme.

J’étais honteux d’entendre ces deux femmes discuter sur mon sort de pauvre male impuissant et sous- dimensionné,  je ne me sentais  plus vraiment un  homme.
La doctoresse demanda à ma femme si cela ne lui manquait pas de ne pas faire l’amour.
Ma femme répondit alors que oui mais que mon petit zizi ne pouvait la satisfaire.
Je comprends, dit cyniquement la doctoresse en pressant mon testicule douloureux.
Je senti le vertige me gagner.
- Comment fais-tu ? Dit alors la doctoresse à ma femme.
Ma femme répondit que, de temps en temps, elle trouvait un vrai homme pour satisfaire ses besoins sexuels.
La doctoresse pressa de nouveau mon testicule meurtri en me regardant de façon hautaine au moment où je venais d’apprendre que j’étais cocu.
- Alors, ce n’est pas un problème, tu peux le laisser comme ça. Tu l’as castré, tu as réussi ton coup, maintenant tu es tranquille.
Ma femme lui avoua que, de temps en temps, elle aimerait me faire bander.
Pour quoi faire, dit la doctoresse, puisqu’il ne peut te satisfaire.
Pour le voir me désirer, répondit ma femme.
Dubitative, la doctoresse dit en regardant mes pauvres petites choses entre ses doigts fins « pour les testicules ça ne semble pas très grave, cela devrait passer, pour le reste je vais vous donner du viagra, vous verrez ce que cela donne.. »

Le soir, ma femme m’administra une petite pilule bleue et, après un bon moment de stimulations, je  parvins à obtenir une érection de ma petite queue. Erection qu’elle ne réprima pas pour une fois, elle m’imposa de rester nu ainsi en la regardant se préparer au lit. Tout excité, j’espérais lui faire l’amour. Elle fit durer le plaisir jusqu'à la fin de mon érection. Lorsqu’elle vit que ma queue était redevenue

lailatvx - le 23/07/2012 à 06h10

BBien venu au club

sarah travlope

si tu es une trav lope c'est normal que tu sois cocu par ta maitresse femme !

j'espère pour elle qu'elle a plusieurs amants réguliers pour baiser et rattraper le temps par rapport à toi ! ses amants viennent à la maison ? tu nettoies les trous de ta maitresse ensuite ?

bp64 - le 28/07/2012 à 09h30

Oui elle a un amant régulier et je nettoie les trous de ma dame ensuite telle est le rôle d'une lopette bien élevé

Bises

sarah travlope

Ma femme Nadia aimait me caresser l'anus. J'aimais fort cette sensation d'interdit.
Je lui ai dit que j'adorais cette caresse. Et puis un jour, elle me dit, puisque tu aimes tant te faire caresser le cul, pourquoi je ne pourrais pas t'enculer avec un de mes godes ? Tu n'aimerais pas te sentir femme ?
Et c'est vrai que mes amis et amies trouvent que j'ai un corps très féminin.
J'ai accepté et je me suis préparé à me faire prendre. Elle m'a lubrifié mon petit trou, puis doucement, elle a commencé à me rentrer un gode de 4 cm de diamètre. Ça me faisait mal, mais je voulais recevoir cette queue factice. Elle m'encourageait en me disant qu'une femme doit souffrir un peu avant de jouir. J'ai joui incroyablement, je me sentais hyper femelle, ça a été une découverte terrible.
On a recommencé ça plusieurs fois, et je dois dire que progressivement, je préférais qu'elle m'encule plutôt que de la baiser. Elle s'en est aperçue, mais ne s'en est pas offusquée.
Un jour, elle m'a proposé qu'on change de rôle : elle s'habille en homme (c'est pas compliqué parce que les femmes sont actuellement habillées en homme la plupart du temps) et moi en femme (là c'est différent puisque nous les hommes, on met rarement des minijupes et des talons aiguille).
Donc un soir, elle commence à me transformer en femme.
Putain que c'est long et compliqué, mais super excitant. Elle m’a rasé les jambes et les quelques poils de mon torse. Elle m'a maquillé, fond de teint, rouge à lèvres,...Puis porte-jarretelles, bas brun foncé à couture, soutien et string.
J'étais très troublé et hyper excité.
En me regardant dans le miroir, je me voyais très femelle et même très salope.
Elle était aussi habillée très sexy. Et elle me disait, oui on est deux femelles putes et salopes.
Pour la première fois, je me suis senti entièrement femme puisque c'est elle qui menait le jeu en me godant le cul et en me suçant l'anus, tout en s'enfonçant un gode dans le vagin.
Le lendemain, j'étais épuisé.
Je me sentais vraiment femelle et à chacune de nos soirées, elle m'obligeait à m'habiller à nouveau en femme pour préparer le dîner, ce que je faisais avec plaisir.

Puis un jour, elle m'a dit qu'elle m'offrirait à un de ses amants un jour. J'étais abasourdi. Mais en même temps, j'attendais ce moment avec impatience, partager des hommes avec ma femme, puisque je devenais aussi une femme.

 


Après la découverte de ma féminité, je me sentais de plus en plus femelle. J’adorais que ma femme m'encule avec ses godes, mais moi je ne la baisais plus. En fait, au fil du temps, j'adorais m'habiller en femme sexy, un peu comme elle, qui en tant que coiffeuse était toujours habillée hyper sexe : jupes courtes, talons aiguille, maquillage très précis, et une chevelure très bien coiffée.

Elle me godait, mais évidemment elle se faisait prendre de plus en plus par ses amants, d'ou des soirées où elle s'absentait de plus en plus longtemps.

Elle « travaillait » parfois les week-ends, pendant lesquels je perfectionnais mon maquillage et mon habillement en femme. Je me suis acheté moi-même des habits et des sous-vêtements féminins. Les soirs, je m'habillais quasiment tous les jours en femme. Comme elle travaillait tard c'est moi qui faisais le dîner. Finalement, elle rentrait dîner un soir sur 2.

Un soir, elle me téléphone pour me demander si cela ne m'ennuie pas si elle revient dîner avec un de ses amants. J'étais perplexe, habillée en femme très sexy, avec une minijupe au ras des fesses, des talons aiguille, un maquillage super réussi. Je lui demande s'il est au courant. Oui, justement cela l'excite, me dit-elle. Je lui réponds, ok alors.
J'étais hyper attisé en les attendant.

Ils sont arrivés, elle toujours superbe et sexy. Lui, un bel homme de près de 50 ans. L'apéro a été très chaud. Ils ne s'arrêtaient pas de se caresser et de flirter. Moi je me faisais aussi caresser les fesses quand je passais leur servir des chips et des olives. Puis, je me suis retrouvée assise à côté de lui, pendant que ma femme est partie à la cuisine terminer la préparation du repas. Elle nous dit : amusez-vous bien pendant que je ne suis pas là.

Il m'a caressée les cuisses. J'avais mis un panty brun foncé sans slip sous ma minijupe. Il m'a baissé le panty pour me caresser le petit trou. Je mouillais fort parce que j'avais mis du lubrifiant pour me goder 2 heures auparavant. Il m'a embrassée. On a flirté plusieurs minutes. Je m'abandonnais dans ses bras, en me sentant de plus en plus femelle. Puis, folle de lui, je lui ai dit "prends moi comme une salope". Je me suis mise à 4 pattes sur le divan et il m'a pénétrée en douceur.
C'était divin. Enfin une vraie queue dans mon ventre de femelle. Elle rentrait facilement après tous les godes que j'avais reçus.
Il a pris son temps. Il m'a limée pendant une dizaine de minutes avant de lâcher son sperme. J'étais heureuse et je me sentais vraiment devenue femme.

On s'est un peu rafraîchis, puis on a dîné à 3. Ils ont été se coucher pour faire l'amour.

Le lendemain matin, il est venu me baiser avant de partir. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai décidé de me faire prendre par des hommes, puisque c'était beaucoup mieux que par des godes ou des adolescents...

 

 

 


Un samedi quand ma femme était partie vers 10h dans son salon de coiffure, je m'étais habillée très sexy. Une jupe rouge très courte, bas à couture brun foncé, talons aiguille vernis noirs, un soutien noir sur mes petits seins (par miracle mes seins étaient un peu bombés sans hormone...) dont je m'étais maquillée les bouts en brun foncé, un top en dentelle noire.
Je déambulais dans la maison me regardant dans les miroirs. Je me sentais très pute et je me godais le cul dès que j'en sentais le besoin.

Vers midi, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit que c’est ma femme qui l’envoie pour voir s'il peut réparer la machine à laver en panne depuis quelques jours.
20 minutes plus tard, ding dong. J'étais complètement paniquée à l'idée d'ouvrir habillée super sexy à ce technicien. J'ouvre, il entre, sans me dire grand chose, il va directement dans la buanderie et examine la machine à laver. Il la démonte, chipote pendant 30 minutes, sans me regarder. Je suis finalement très déçue qu'il ne me trouve pas appétissante.

Puis, fier, il revient en me disant voilà c'est réparé, et en me regardant d'un air vicieux, il me dit tu es super sexy, puis il vient contre moi et me dit donne-moi une bière et viens avec moi au salon. Troublée et rassurée, je me suis exécutée. Je suis venue m'asseoir à côté de lui sur le divan avec 2 bières.

On était tous les 2 très chauds. Je me demandais comment il allait poursuivre. Puis il m'a demandé si je ne voulais pas qu'on essaie de jouer ensemble. Il m'a avoué qu'il était bisexuel et qu'un de ses phantasmes était de

lailatvx - le 28/07/2012 à 10h55

Et oui voilà comment ça commence en général

Bises

sarah travlope

j'aime.

Thierry - le 28/07/2012 à 18h16

Merci

sarah travlope

 tout ce que je suis et tout c e que j'aime.

Thierry - le 28/07/2012 à 18h21

A tu un blog ou tu nous montre tout ça

 

Bises

sarah travlope

Sarah ma chérie, voici mon mail pour que l'on arrive à mettre en place une rencontre avec ton maître pour que l'on se gouine sous ses ordres : jpehem.mm@orange.fr. Bises très amoureuses en attendant notre rencontre

Jeanne travestie - le 29/07/2012 à 10h24

j'aime lire les histoires de lopes soumises avec des petites bites, ce qui est maintenant à peu près mon cas, avec l'age, je ne bandes plus beaucoup et seul le viagra m'aide à bander (encore que cela ne dure pas très longtemps et que ma bite n'est pas trop dure) mais au moins reprends-t'elle son volume d'avant. mon conjoint n'en profite plus beaucoup, car elle aussi a pris de l'age. ce qui fait que maintenant, je suis devenu bi, tendance soumis depuis plusieurs années; ma femme m'avait habitué à me prendre le cul avec un god, et comme elle ne le fait plus : j'ai cherché ailleurs. j'avais toujours révé de pouvoir sucer une bite et c'est presque normalement que pendant des vacances sur une plage naturiste (cap d'agde) j'ai pu sucer ma première bite. Découverte importante, et j'ai voulu en connaitre plus, je suces et avales (sur ordre)(d'ou ma soumission).Je me fais maintenant sodomiser - la 1ère grosse bite qui m'a percée, je l'ai senti passer - mais désormais c'est devenu facile, je suis bien ouverte - et je progresse tous les jours. Après m'etre vidé les intestins normalement ou avec lavement (que j'apprécie fortement), je dois porter un plug de 03cm toute la matinée et parfois plus - un serre couilles en cuir vient compléter le tableau - et au moins une à deux fois par semaine, je me force à accepter des investigations de plus en plus grosse dans mon fondement - plug de 06cm et je suis passé hier à un god de 7,5 qui ne rentre encore que de 8 à 9cm, mais j'espère bien aller au-delà. Ajouter à cela que je suis rasé devant et derrière, que je me promène souvent en string ficelle avec un petit plug bien planté ou avec une culotte de femme (pour leur régles) accompagné au moins une fois par mois d'un tampax avec la ficelle bleu qui dépasse, pour bien marqué mon statut de salope soumise. J'ai bien sur 1 ou 2 amants habitués, mais ma recherche irait plutot vers des soumis comme moi afin de les aider à faire plaisir à leur maitre ou maitresse. j'accepte avec plaisir la prise de température et les fessées qui suivent - un peu d'uro (clair) ne me géne pas, surtout avec une maitresse. jamais essayer meme avec un bi comme moi ! je cherche sur rethel (08) pratiquement tous les jours de la semaine le long du canal à partir de la halte fluviale et dans le chemin carossable du petit bois après le pont SNCF - pour me reconnaitre : résoudre une simple petite énigme qui coule de source en me voyant : je marche souvent à quatre pattes !! - j'ai la soixantaine et espère recevoir la fessée que je mérite!!!!!!!!!!!!!!!!!bises à vos trous du cul.

bouffecul - le 22/08/2012 à 11h31

salut ma cherie,je viens de decouvrir ton blog et il est vraiment bien.

J'imagine bien ta femme en train de prendre du plaisir avec de vrais males pendant que tu assiste aux ebats,vraiment tres bandant!!

ricoy - le 24/07/2013 à 15h38

Merci pour mon blog

J'adore la voir jouir sur un belle bite, moi je sais pas faire

Bises

sarah travlope