Le blog de sarah travlope
Bon depuis maître Steve m'a demander de revenir lisse comme une bonne lope Et pour le deuxième tour des présidentiels je devais allée voté plugée Ce que j'ai fais bien sûr
Voilà qui est fais
Je suis Karim (lailatvx), un homme marié de 32ans.
J’avouerais qu’à 32ans, ma sexualité n’était plus aussi débridée, me contentant de rapports conjugaux de moins en moins fréquents. Svelte et pas poilu, je suis l’archétype du mari sans histoire.
Il m’arrive parfois de rentrer déjeuner chez moi entre midi et 2. Je croisais à plusieurs reprises un éboueur qui avait l’habitude de garer sa moto bleue dans ma rue.
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi châtain grisonnante que ses cheveux coupés courts…Le croisant souvent dans sa tenue bleue ciel aux bandes jaune
fluo, nous avions pris l’habitude de nous dire bonjour. Un jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant semblant de ne rien entendre.
Le lundi suivant, c’était au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre midi et 2, je le croise et le salue comme d’habitude. Il me salue et me dévisage de façon plus insistante. Je
repense à la scène et je suis gêné qu’il m’ait vu me faire engueuler…
J’ouvre la porte qui donne à mon immeuble et, troublé, je le regarde son balais à la main me suivre du regard…J’envie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la baguette…Je monte les
escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut, je glisse ma clef dans la serrure d’entrée, ouvre ma porte, entre et au moment
de la refermer, j’ai la surprise de me retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse botte de chantier.
Là, tout se passe très vite, sans que je l’y ai invité, il entre chez moi, me saisit, me plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sens sa grosse moustache
sur mes lèvres… je tente de repousser ce baiser, rouge de surprise, de honte et de peur. Rien n’y fait au contraire, le grand gaillard s’enhardit de plus belle et avance d’un pas pour refermer la
porte. Je me retrouve à la merci de cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée, ses lèvres contre les miennes m’empêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sens alors une
grosse langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon visage…Mon cœur bat la chamade, je ne pense plus à rien et j’ouvre la bouche. C’est alors une explosion
de plaisir qui m’électrise et me paralyse tout le corps. Je ne pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par ce mec qui fouille avec sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis
au 7e ciel, moi le mec marié.
Il desserre alors l’étreinte et je me surprends à vouloir prolonger sans fin ce baiser langoureux. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et je sens un plaisir immense irradier mon corps comme
jamais auparavant je n’avais éprouvé un tel sentiment.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse. Puis il se met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme d’Adam et ouvrant d’un coup sec ma chemise en faisant sauter les
boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le torse, s’attardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, l’extase est trop forte, je suis le jouet de ce bûcheron …Sa langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de cette caresse buccale mais
ne suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les bras de l’éboueur du quartier. Et là oh surprise, le
tissu de celui-ci est gonflé par une magistrale érection, j’ai honte de moi mais j’ai envie que cela dure encore. Là, il descend mon boxer qu’il fait glisser en même temps que mon jeans sur mes
talons. En un clin d’œil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours, dans cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland … je craque, et gémis de plaisir, il engloutit
ma queue qui n’est pas grosse. Cela fait une éternité que je n’avais pas été sucé ainsi…Puis lui toujours habillé, je me retrouve à même le sol de mon entrée, couché sur le dos et soulevant avec
ses deux bras mes jambes, revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent
sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je n’avais subis. Il descend et lèche mon
scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie de mâle déchu jusqu’à ma rosette serrée. Jamais je n’avais
pu imaginer un tel bonheur ! Je n’éprouve alors plus aucune honte, et au contraire, je n’ai plus qu’une seule envie : me faire baiser comme une meuf…
Il en profita pour ôter mes basquets une à une, puis mon jeans et mon slip. Puis il enlève mes chaussettes blanches et me lèche avec délectation les pieds.
Il se relève alors et revient m’embrasser fougueusement. Sans mot dire, on se relève et le prenant par la main, je l’entraîne vers la chambre à coucher. Je le fais asseoir sur le lit conjugal et
j’ôte fébrilement sa veste bleue puis son t-shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant, le double du mien, couvert de poils longs et luisants, châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et j’ouvre nerveusement sa braguette. Quelle stupeur, quand j’aperçois le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner un gros sexe énorme, moulé
dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon expression et se baissa pour ôter ses grosses chaussures. Il se relève et fait descendre d’un trait, pantalon de combi et slip et se
dégagea pour offrir à ma vue son gros dard. Je me retrouve ainsi face à une queue d’au moins 23 cm, plus épaisse encore que la mienne, droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme
en
forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré, je me penche pour soupeser cette énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser d’énormes couilles très pendantes. Son
pubis était lui aussi couvert d’une épaisse toison mais d’un châtain plus vénitien que son corps. Je commence maladroitement à le branler quand il s’assoit sur le lit et écartant les cuisses il
me dit : suce-moi la bite, mec !!!
J’en frissonnais d’envie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe, je fus agréablement surpris par l’odeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue. Un doux parfum de propre auquel on ne
se s’attendait pas. M’agrippant par les cheveux, il imprime à ma tête des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au
plus profond de ma bouche et de ma gorge. C’est l’extase ! Puis il me couche sur le dos et vient sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser ses larges fesses
rebondies sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui lécher d’abord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle pl
Tu a de la chance mon cher Karim
Bises
J'aime beaucoup ta petite marque poilue.
Une petite idée pour ma maîtresse, peut-être...
Mon maitre me l'a fais coupé
Bises
tres joli je les metrrai bien en bouche
Quand tu veux
Bises
tu est d'ou'?
Tous est dans le blog
Bises
tres jolie le clito de la salope cocu
Et oui je suis cocu depuis 8 ans
Bises
ta petite bite est quand meme beaucoup plus belle et plus longue que la mienne
belle marque des cocus ! cela te va très bien !!! une bonne lope cocue !!! dommage que l'on ne marque pas cette lope ! elle devrait porter un tatouage marqué : cocu ou lope !!
je prefere egalement sans poil, lisse impberte ! à quand une épilation définitive ? quand pense la lope ?