Le blog de sarah travlope
SUPER VU NON
Sarah ma chérie, ma travlope aimée, il faut que ta putain de femelle vienne avec nous 2 dans des lieux fréquentés par des mâles en rut pour être toutes les 3 leur sac à foutre et leur garage à bites.
Ma maitresse ne baise pas en présence de sa lope
ta maitresse à bien raison de te faire cocu !! avec la mini bite que tu as, cela doit a peine rentrer dans sa chatte gourmande de bites épaisses !! je me branle plusieurs fois devant cette belle touffe que j'aimerais bien bouffer avec ma bouche ou la remplir avec ma bite !!! je pense qu'ele n'a pas besoin de porter de culotte, la chatte à l'air lui va très très bien, elle a une touffe magnifique bien que je préfère sans poils, là, ils sont courts, peu nombreux et me font merveilleusement bien bander !!!! les bas couleur chair vont très bien avec sa chatte à pois chatain clair ! elle a un cul magnifique et on a enormément envi de l'investir, de la baiser devant et derrière !!!! elle a son cul qui semble habitué à prendre de la bite !!! vue de dos elle donne envie de se faire baiser !!! la lope impouissante devrait la laisser voir plusieurs mecs par semaine et meme lui laisser le lit conjugual pour qu'elle puisse en profiter ! bouffer de la queue et non pas se faire chier avec une bite de la taille d'une pince à linge !! la femme de sarah devrait se servir de la bouche de sarah pour la nettoyer après le passage de ses amants ! et lui mettre une cage en permanence ainsi qu'un plug que sarah devrait porter continuellement !!! la femme de sarah devrait imposer un piercing sur les seins et un au nombril pour prouver sa mise à dispo permanente auprès des mecs qui souhaitent la sauter !!! sarah ne devrait plus servir que de vide couilles à son maitre et à qui souhaite l'honorer !il serait judicieux de la faire féminiser encore plus et de façon de plus en plus radical !!!
Petit rappel, ma maitresse ne porte jamais de culotte depuis 5 ans et va ce faire épilé le sexe une par mois chez un ésthéticien c'est pour ça qu'il snt peu nombreux
Bises
les poils qu'elle a prouve qu'elle va donc bientot se les faire épiler ! j'adore ! et en contre partie l'esthéticien lui rempli la queue de son foutre ? elle ne porte plus de culotte depuis 5 ans par obligation ou par envie ?
Ces poils sont retirer pour le reste je ne sais pas
La culotte elle a désité du jour au lendemain de ne plus en mettre
Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Mais malheureusement pour toi
Ma petite bite
Mon petit zizi
Ne te faisait aucun effet
Ne te satisfaisait plus
Tu voulais mieux
Tu désirais plus
Je t’ai laissé faire
Afin de me soustraire
Et devenir bonne à tout faire
Puis tu as commencé à me donner des ordres devant tes amants,
En m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre,
Les courses mal faites...
Tout cela devant eux
Et ce sentiment d'humiliation
Ne provoquait en moi aucune réaction,
Devant tes amants
J’aurais dû faire le mâle,
Taper du poing,
Mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle,
Je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié.
Tes amants étaient gênés au début,
Je représentais pour eux le dominant du couple parfait,
Mais très vite ils ont compris
Que c'était Toi le centre,
Et m'adressèrent de moins en moins la parole.
De plus en plus
Je me vis vous servir,
Bientôt le soir,
Je faisais la cuisine,
Mangeais avec vous qui monopolisiez la conversation.
Puis je débarrassais et rangeais la cuisine
Alors que vous alliez vous affaler sur le canapé
À regarder la télé
De plus en plus
L’un à l’autre collés…
Pendant que brutalement vous baisiez
Parfois ton amant se retirait
Te retenant par la nuque
Pour te remplir le gosier
De sa semence que tu aimais
Tu poussais des gloussements de contentement
Tu avalais tout en pompant
Tu n’as jamais avalé avec moi
De toute façon
Les fellations complètes
N’ont jamais été
Au programme avec moi
Moi toujours bandant
Sans même me masturber
J’avais joui deux ou trois fois
Mon sperme maculait le tapis devant moi
- Bon, me dis-tu,
Nous, on va se coucher
Il est évident petit cocu
Que ta place n’est plus dans notre lit
Tu vas nettoyer toutes tes saletés
Et dormir sur le canapé !
Quel belle révélation
Bises a toi
gros bisous du Maroc !!!!!!!!!!!!!!!
Hum le Maroc
Bisous a toi, tu me montre ton clito
Bises
Il y a deux ans de cela, Nadia, 26 ans, et moi, 32 ans, vivions dans une certaine monotonie sexuelle, malgré une entente parfaite. J'avais eu quelques
petites aventures extraconjugales, mais sans conséquences sur notre ménage. Mais petit à petit, j'éprouvais le désir de voir mon épouse se transformer en femme provocante, surtout qu'elle possède
les atouts nécessaires. Je voulais la voir un peu allumeuse, vêtue d'une façon plus sexy. Je lui ai fait part de ce désir.
Quelque peu réticente au départ, elle a accepté, par jeu, de raccourcir un peu ses jupes et d'abandonner le port du soutien-gorge en certaines occasions. Nous avions décidé de sortir plus
souvent, et ce fut au cours d'une de nos sorties nocturnes que tout allait changer dans notre vie de couple. Aujourd'hui je me pose certaines questions. Allions nous passer à côté de quelque
chose? Etais-je un voyeur qui s'ignorait? Ou encore: ne sommes nous pas allés trop loin et trop vite? Dois-je réagir différemment?
Pour en revenir donc à cette mémorable soirée, je ne fus pas surpris que Nadia se fasse inviter par des danseurs solitaires. Sa tenue vestimentaire, un tee-shirt à mailles fines, une minijupe ultracourte et collante, un maquillage soutenu, avaient de quoi en aguicher plus d'un. Elle avait décidé, pour me plaire, de jouer à fond son rôle d'allumeuse. Aussi, dès notre arrivée, l'avais-je quelque peu abandonnée près du bar. Mais au cours d'une série de slows, j'ai pu apercevoir, dans ce qui restait comme clarté, mon épouse embrassant à pleine bouche son cavalier, se frottant langoureusement à son bassin. Point de jalousie mais une vive excitation qui, tout en me surprenant, a produit sur moi une forte érection, au point de me faire mal. J'avais quelques difficultés à réaliser ce qui se passait. Nadia ne pouvait pas me voir. Elle m'a rejoint au bar quelques instants plus tard et m'a fait part de l'empressement de son cavalier à la serrer de très près, et de son érection évidente: c'était la première fois qu'elle me parlait ainsi. J'ai fait celui qui n'avait rien vu. Une heure plus tard, nouvelle série de slows, nouveau cavalier, même scénario. Deux hommes avaient embrassé et peloté ma femme au cours de la soirée, et j'éprouvais une certaine satisfaction. Au lit, je lui ai fait part de ce que j'avais vu. Elle en fut très excitée et m'a demandé si j'étais fâché. A la façon dont je lui ai fait l'amour ce soir là, elle a compris que tout lui était permis. Avais-je bien réagi à ce moment là?
Une semaine plus tard, les choses allaient évoluer très rapidement. Nadia m'a téléphoné à mon travail vers quinze heures pour me faire part de son intention de
sortir le soir même. Un des cavaliers de la semaine précédente venait de l'appeler pour l'inviter à dîner. Tout bêtement, je lui ai répondu oui. Vers dix neuf heures, elle a commencé à
s'habiller. Jusque là, nous n'avions pas échangé un mot. Puis brusquement, elle m'a demandé si je lui en voulais. Avec un pincement au cœur, je lui ai fait part de mon désir de la voir se
distraire et, se jetant dans mes bras, elle m'a dit qu'elle renonçait à y aller. Que s'est-il passé en moi à ce moment là? Je n'en sais rien. J'ai insisté pour qu'elle sorte, en lui disant
qu'elle avait déjà promis à Omar (celui qui l'avait invitée) de venir. Elle m'a prié de choisir ses vêtements. Pourquoi? Etait-ce une sorte de consentement qu'elle attendait? Un corsage vert très
ajouré, une minijupe blanche fendue sur le devant, un string ficelle transparent, des hauts talons, un maquillage très prononcé, la voilà prête pour sortir. En se regardant dans la glace, elle
m'a dit brutalement:
- Je ressemble à une pute, n'est ce pas?
Ma réponse fut une autre question:
- Est-ce que tu vas coucher avec lui?
- Comment veux-tu que je le sache? M'a-t-elle répondu.
Je l'ai embrassée dans le cou et j'ai caressé sa chatte en lui demandant de promettre de tout me raconter à son retour.
Je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Impossible de m'endormir: je bandais en pensant à ce qu'elle pouvait être en train de faire. Je guettais par la fenêtre, sensible à tous les bruits.
Enfin, vers une heure trente du matin, elle est rentrée, un léger sourire aux lèvres, quelque peu décoiffée. Je fus le premier à parler:
- J'ai envie de toi.
- Moi aussi, me dit-elle, mais je vais d'abord me laver.
J'avais compris. La saisissant par la taille, je l'ai basculée sur notre lit et j'ai pu constater qu'elle n'avait plus son string.
- Laisse moi me laver! Me dit-elle.
Devant mon refus, elle a pris ma main et l'a guidée vers sa vulve encore toute engluée de sperme. Puis elle m'a regardé droit dans les yeux, me demandant si je voulais toujours. Je me suis roulé
sur elle et l'ai pénétrée facilement. Pendant que j'étais en elle, elle m'a fait le récit de sa soirée avec force détails. La verge énorme et puissante de son amant, la pensée qu'elle avait eu
pour moi à chaque fois qu'elle avait joui. Sans mouvement, j'ai éjaculé en elle, en pensant que quelqu'un d'autre l'avait fait avant moi. Elle voulait s'excuser, de quoi? De ce que je voulais au
fond de moi! Au contraire, je l'encourageai à continuer, mais la prochaine fois en ma présence. Je voulais la voir se faire prendre par un autre mâle que moi. Elle a été surprise, et m'a déclaré
ne pas être encore prête pour cela, mais que le moment venu, elle me le ferait savoir. Je lui ai affirmé que ce serait la plus grande preuve d'amour qu'elle pourrait me donner.
Je le savais, les choses ne seraient jamais plus comme avant. Ma femme était devenue plus douce et aimante que jamais. J'éprouvais même du mal à la satisfaire, tant son appétit sexuel s'était
décuplé. En voiture, j'étais en érection permanente, excité par ses cuisses largement découvertes et généreusement ouvertes aux regards des piétons et des conducteurs de poids lourds qui
dominaient notre voiture. Par moments, je n'arrivais plus à la reconnaître. Elle recevait de nombreuses invitations qu'elle acceptait, après avoir obtenu mon accord. Quatre mois se sont écoulés
ainsi. Elle a connu de nombreux hommes, me faisant scrupuleusement le récit de leurs ébats. Bien sûr, notre entourage commençait à jaser. C'était un peu la putain du quartier, mais je me fichais
éperdument de ce que pensait le voisinage. Mon désir de la voir "à l'œuvre" augmentait considérablement, et je lui en ai fait part. Elle était prête à céder à mon fantasme. Une première occasion
me fut donnée quelques semaines plus tard. Nous étions en boîte de nuit, lorsqu'elle m'a demandé les clés de la voiture en me disant qu'elle sortait prendre un peu l'air. Mais lorsque je l'ai vue
franchir la porte, suivie de son cavalier, j'ai décidé que j'allais l'épier.
Dix minutes après, je me retrouvais près de la voiture garée au bout du parking. Je n'ai rien perdu du spectacle qui s'offrait à mes yeux. Le chemisier déboutonné entièrement, les cuisses largement ouvertes, Nadia offrait son sexe aux doigts de l'homme qui était tourné vers elle, et qu'elle masturbait voluptueusement. M'ap
consulte mon blog :
Pas mal
rajoute plus de photo dans tes article
Bises
Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour reprendre ses mots, il a « bien besoin de se vider les couilles ». C’est une des choses qu’il m’a
avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant
la rencontre de ce soir :
1ère discussion :
LUI : Alors, comme ça, tu cherches quelqu’un de directif et dominant ?
MOI : Oui et ce serait d’ailleurs ma première fois avec un homme. J’espère rencontrer un mâle viril qui saurait prendre les devants pour me soumettre à son plaisir.
LUI : Tu ne serais pas déçu avec moi, tu peux me croire. J’ai une belle bite qui cherche une bouche et un cul à défoncer toute la nuit.
MOI : Si ce n’est pas indiscret, elle ressemble à quoi ta belle bite ?
LUI : Un beau 9 pouces (23 cm), bien épaisse et bien dure.
Après plusieurs autres conversations sur le même ton, au cours desquelles j’ai notamment appris qu’il avait 45 ans (j’en ai 31), qu’il était récemment divorcé et sans enfant, cinq jours ont passé
sans que j’aie de nouvelles de lui ou de réponse à mes messages. Jusqu’à ce que :
MOI : Pourquoi est-ce que tu ne me réponds pas ? J’ai fait quelque chose de mal ? Je t’ai manqué de respect ? Si c’est le cas, je m’en excuse et ferai tout pour me faire pardonner ! Tout ce que
je souhaite, c'est que tu me soumettes à ta grosse bite, que tu l’enfonces entre mes lèvres quand tu veux et comme tu veux, que tu défonces ma gueule ou mon cul quand ça te plaît. Quand je suis
avec toi, je t'appartiens. En passant, au moment où je tape ces lignes, j'ai un plug dans le cul et en l’insérant, j'imaginais que c'était toi qui me l'enfonçais pour bien me préparer à ta
queue.
LUI : Je vois que tu es prêt, p’tite pute, et que tu as compris ce que j attendais de toi. J’ai bien hâte de voir si tu seras à la hauteur avec ma queue dans ta bouche. Tu as besoin de tout
avaler et ne t’inquiète pas, je vais m’assurer de bien t’enfoncer ton plug pour que tu sois prêt à recevoir ma queue bien dure. Et si tu ne réponds pas a mes exigences, je vais te traiter de tous
les noms. Je te veux salope, soumise et p’tite pute. D’ailleurs, dorénavant, tu m’appelles « monsieur » et tu me vouvoies, c’est clair ? Je ne suis pas un de tes potes, je suis celui auquel tu
dois obéir. Tu te présentes jeudi soir à ma porte avec ton plug dans le cul. À 20h. Et ne sois pas en retard sinon tu le regretteras.
MOI : Oui, monsieur, je ferai tout pour vous satisfaire. Merci, monsieur.
C’est ainsi que je me retrouve à appuyer sur le bouton de sonnette d’un bungalow de banlieue, avec un plug planté dans les fesses depuis près d’une heure, soit le temps qu’il m’a fallu pour
arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le
sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu
bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma taille (180 cm), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme
s’il revenait tout juste de son travail.
Sans un sourire, il dit : « C’est bien, tu es à l’heure ».
Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes
souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangés me semblent appartenir à un autre univers
et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait
aucun refus : « Viens t’asseoir au salon ».
Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort. « Tiens, bois ça ». Même si son ton est
posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale
me brûle la gorge. « Bois-le au complet. Ça te détendra. » Je me force alors à ingurgiter le contenu du verre et me mets ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je
réalise qu’il a posé sa main sur ma cuisse et qu’il la caresse avec fermeté. Un peu comme on caresserait un chien. L’alcool commence rapidement à faire effet : une grande chaleur envahit mon
corps, je me décrispe et profite de la caresse que je reçois. Sa main remonte près de mon entrejambe. Une partie de moi trouve que tout ça va trop vite alors qu’un autre tente de me persuader de
profiter de l’occasion qui s’offre à moi de découvrir de nouvelles expériences. Et je dois l’admettre : j’ai envie d’écouter cette dernière partie de moi.
Il doit remarquer à mon attitude que je me relaxe, car il prend ma main et, sans dire quoi que ce soit, en fixant ses yeux bleus dans les miens, il la pose sur sa braguette. Contrairement à ce
que son calme olympien suggérait, je sens une bosse sous mes doigts, ce qui m’incite la tâter avec application. Après seulement quelques secondes, une barre distend son pantalon. Je suis fier de
moi. Je l’excite.
Il prend alors mon menton de sa main et me tourne la tête vers lui. Au moment où j’entrouvre mes lèvres, m’attendant à un baiser, il enfonce deux de ses doigts dans ma bouche et les fait aller et
venir doucement, presque langoureusement.
- Oui, c’est ça, ma belle, me murmure-t-il. Suce-les et lèche-les comme tu vas sucer et lécher ma bite très bientôt. »
Ses doigts se retrouvent rapidement recouverts de salive tandis que je m’efforce de ne pas cesser de caresser sa queue à travers son pantalon. Ma soudaine féminisation me pousse à mettre
davantage d’ardeur à double travail
- Tu en veux un troisième ? Me demande-t-il, sans doute satisfait de mon entrain. Sans attendre de réponse, il ajoute son annulaire à son majeur et son index et continue de me fouiller la bouche.
Je vais bien te préparer la gueule, tu vas voir, ajoute-t-il en augmentant la cadence de ses mouvements. Un filet de bave s’étire maintenant de mes lèvres distendues à mon chandail, mais il ne
ralentit pas pour autant.
Soudain, après avoir brièvement ajouté un quatrième doigt qui a de la difficulté à se frayer un chemin dans ma bo
est elle comme toi ? Prend elle par le cul? et si oui le fait elle souvent ?
Oui elle ce laisse prendre par le cul mais qu'avec des inconnus et tendre avec elle
car moi je n'ai pas le droit
belle et bonne salope !! son fion est encore bien conservé !! coté fesses elle est pas trop cularde ???? sa moule de salope semble pas trop fripée et son duvet est signe de laisser aller !!! une vraie bonne raclée sur les fesses semble trrés utile !! d ailleurs je vote pour une contr indicatioon pour le port de culottes !!! sortie mini jupe sans collant ni bas ds le bus sur une ligne trés "chaude" me semble utile pour lui "casser le fion" !!mtre steeve est trop DOUX,,,,,