Le blog de sarah travlope

"voici ma Maîtresse, ma femme, qui me fait cocue...Et je l'encourage à le faire tellement je suis une lope! Branlez vous sur elle, et commentez ses photos! Les mots les plus crus sont souhaités..." IMGP0109.JPG

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                              SUPER VU NON
Sam 5 mai 2012 19 commentaires

belle et bonne salope !! son  fion est encore bien conservé !! coté fesses elle est pas trop cularde ???? sa moule de salope semble pas trop fripée et  son duvet est signe de laisser aller !!! une vraie bonne raclée sur les fesses semble trrés utile !! d ailleurs je vote pour une contr indicatioon  pour le port de culottes !!! sortie mini jupe  sans collant ni bas ds le bus sur une ligne trés "chaude" me semble utile pour lui "casser le fion" !!mtre steeve est trop DOUX,,,,,

mitoro - le 05/05/2012 à 09h20

Sarah ma chérie, ma travlope aimée, il faut que ta putain de femelle vienne avec nous 2 dans des lieux fréquentés par des mâles en rut pour être toutes les 3 leur sac à foutre et leur garage à bites.

Jeanne travestie - le 05/05/2012 à 10h56

Ma maitresse ne baise pas en présence de sa lope

sarah travlope

ta maitresse à bien raison de te faire cocu !! avec la mini bite que tu as, cela doit a peine rentrer dans sa chatte gourmande de bites épaisses !! je me branle plusieurs fois devant cette belle touffe que j'aimerais bien bouffer avec ma bouche ou la remplir avec ma bite !!! je pense qu'ele n'a pas besoin de porter de culotte, la chatte à l'air lui va très très bien, elle a une touffe magnifique bien que je préfère sans poils, là, ils sont courts, peu nombreux et me font merveilleusement bien bander !!!! les bas couleur chair vont très bien avec sa chatte à pois chatain clair ! elle a un cul magnifique et on a enormément envi de l'investir, de la baiser devant et derrière !!!! elle a son cul qui semble habitué à prendre de la bite !!! vue de dos elle donne envie de se faire baiser !!! la lope impouissante devrait la laisser voir plusieurs mecs par semaine et meme lui laisser le lit conjugual pour qu'elle puisse en profiter ! bouffer de la queue et non pas se faire chier avec une bite de la taille d'une pince à linge !! la femme de sarah devrait se servir de la bouche de sarah pour la nettoyer après le passage de ses amants ! et lui mettre une cage en permanence ainsi qu'un plug que sarah devrait porter continuellement !!! la femme de sarah devrait imposer un piercing sur les seins et un au nombril pour prouver sa mise à dispo permanente auprès des mecs qui souhaitent la sauter !!! sarah ne devrait plus servir que de vide couilles à son maitre et à qui souhaite l'honorer !il serait judicieux de la faire féminiser encore plus et de façon de plus en plus radical !!!

bp64 - le 05/05/2012 à 14h57

Petit rappel, ma maitresse ne porte jamais de culotte depuis 5 ans et va ce faire épilé le sexe une par mois chez un ésthéticien c'est pour ça qu'il snt peu nombreux

 

Bises

sarah travlope

les poils qu'elle a prouve qu'elle va donc bientot se les faire épiler ! j'adore ! et en contre partie l'esthéticien lui rempli la queue de son foutre ? elle ne porte plus de culotte depuis 5 ans par obligation ou par envie ?

bp64 - le 06/05/2012 à 00h03

Ces poils sont retirer pour le reste je ne sais pas

La culotte elle a désité du jour au lendemain de ne plus en mettre

sarah travlope

Oui, ma douce épouse et tendre chérie

Tu peux à n’importe quel moment

De la journée

De jour comme de nuit

Rejoindre tes amants

Tes amants chéris

 

Moi, je reste sagement à la maison

Tranquillement dans mon logement

Imaginant ces bites énormes

Ces zobs démesurés

Qui te dilatent

Qui t’engraissent

Qui t’épaississent

Qui te labourent

Qui te parcourent

 

Et quand tu seras complètement repue

Totalement gavée

Entièrement comblée

Tu me  reviendras

Très tôt le matin

Souillée, suintant la sueur

Le sperme et tes propres jouissances

 

Devant la porte d’entrée

Je m’agenouille à tes pieds

J’embrasse tes orteils un par un

Et te remercie

De n’avoir pas oublié

De m’apporter

De m’offrir

Ma dose de sperme

De semence

Des restes du passage de tes amants

Passionnés et engoués

Exaltés et enflammés

 

Je renifle dans tes recoins les plus intimes

Ta fente malmenée toute la nuit

Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés

Ton string dégoulinant de sperme

Tu te plais à me raconter

Tes turpitudes longuement avec détails

Tu me décris tes ébats sexuels

Leurs longues bites

Que tu compares à des gourdins

Qui n’ont pas la taille du mien

 

Pourtant il y a peu de temps

Tu étais la femme d'un seul homme

Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte

N’avaient connu que moi

 

Mais malheureusement pour toi

Ma petite bite

Mon petit zizi

Ne te faisait aucun effet

Ne te satisfaisait plus

 

Tu voulais mieux

Tu désirais plus

Je t’ai laissé faire

Afin de me soustraire

Et devenir bonne à tout faire

 

Puis tu as commencé à me donner des ordres devant tes amants,

En m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre,

Les courses mal faites...

 

Tout cela devant eux

Et ce sentiment d'humiliation

Ne provoquait en moi aucune réaction,

Devant tes amants

 

J’aurais dû faire le mâle,

Taper du poing,

Mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle,

Je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié.

 

Tes amants étaient gênés au début,

Je représentais pour eux le dominant du couple parfait,

Mais très vite ils ont compris

Que c'était Toi le centre,

Et m'adressèrent de moins en moins la parole.

 

De plus en plus

Je me vis vous servir,

Bientôt le soir,

Je faisais la cuisine,

Mangeais avec vous qui monopolisiez la conversation.

 

Puis je débarrassais et rangeais la cuisine

Alors que vous alliez vous affaler sur le canapé

À regarder la télé

De plus en plus

L’un à l’autre collés…

 

Pendant que brutalement vous baisiez

Parfois ton amant se retirait

Te retenant par la nuque

Pour te remplir le gosier

De sa semence que tu aimais

 

Tu poussais des gloussements de contentement

Tu avalais tout en pompant

Tu n’as jamais avalé avec moi

De toute façon

Les fellations complètes

N’ont jamais été

Au programme avec moi

 

Moi toujours bandant

Sans même me masturber

J’avais joui deux ou trois fois

Mon sperme maculait le tapis devant moi

 

- Bon, me dis-tu,

Nous, on va se coucher

Il est évident petit cocu

Que ta place n’est plus dans notre lit

Tu vas nettoyer toutes tes saletés

Et dormir sur le canapé !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

lailatvx - le 07/05/2012 à 07h59

Quel belle révélation

 

Bises a toi

sarah travlope

gros bisous du Maroc !!!!!!!!!!!!!!!

lailatvx - le 08/05/2012 à 06h53

Hum le Maroc

Bisous a toi, tu me montre ton clito

 

Bises

sarah travlope

 Il y a deux ans de cela, Nadia, 26 ans, et moi, 32 ans, vivions dans une certaine monotonie sexuelle, malgré une entente parfaite. J'avais eu quelques petites aventures extraconjugales, mais sans conséquences sur notre ménage. Mais petit à petit, j'éprouvais le désir de voir mon épouse se transformer en femme provocante, surtout qu'elle possède les atouts nécessaires. Je voulais la voir un peu allumeuse, vêtue d'une façon plus sexy. Je lui ai fait part de ce désir.
Quelque peu réticente au départ, elle a accepté, par jeu, de raccourcir un peu ses jupes et d'abandonner le port du soutien-gorge en certaines occasions. Nous avions décidé de sortir plus souvent, et ce fut au cours d'une de nos sorties nocturnes que tout allait changer dans notre vie de couple. Aujourd'hui je me pose certaines questions. Allions nous passer à côté de quelque chose? Etais-je un voyeur qui s'ignorait? Ou encore: ne sommes nous pas allés trop loin et trop vite? Dois-je réagir différemment?

Pour en revenir donc à cette mémorable soirée, je ne fus pas surpris que Nadia se fasse inviter par des danseurs solitaires. Sa tenue vestimentaire, un tee-shirt à mailles fines, une minijupe ultracourte et collante, un maquillage soutenu, avaient de quoi en aguicher plus d'un. Elle avait décidé, pour me plaire, de jouer à fond son rôle d'allumeuse. Aussi, dès notre arrivée, l'avais-je quelque peu abandonnée près du bar. Mais au cours d'une série de slows, j'ai pu apercevoir, dans ce qui restait comme clarté, mon épouse embrassant à pleine bouche son cavalier, se frottant langoureusement à son bassin. Point de jalousie mais une vive excitation qui, tout en me surprenant, a produit sur moi une forte érection, au point de me faire mal. J'avais quelques difficultés à réaliser ce qui se passait. Nadia ne pouvait pas me voir. Elle m'a rejoint au bar quelques instants plus tard et m'a fait part de l'empressement de son cavalier à la serrer de très près, et de son érection évidente: c'était la première fois qu'elle me parlait ainsi. J'ai fait celui qui n'avait rien vu. Une heure plus tard, nouvelle série de slows, nouveau cavalier, même scénario. Deux hommes avaient embrassé et peloté ma femme au cours de la soirée, et j'éprouvais une certaine satisfaction. Au lit, je lui ai fait part de ce que j'avais vu. Elle en fut très excitée et m'a demandé si j'étais fâché. A la façon dont je lui ai fait l'amour ce soir là, elle a compris que tout lui était permis. Avais-je bien réagi à ce moment là?

Une semaine plus tard, les choses allaient évoluer très rapidement. Nadia m'a téléphoné à mon travail vers quinze heures pour me faire part de son intention de sortir le soir même. Un des cavaliers de la semaine précédente venait de l'appeler pour l'inviter à dîner. Tout bêtement, je lui ai répondu oui. Vers dix neuf heures, elle a commencé à s'habiller. Jusque là, nous n'avions pas échangé un mot. Puis brusquement, elle m'a demandé si je lui en voulais. Avec un pincement au cœur, je lui ai fait part de mon désir de la voir se distraire et, se jetant dans mes bras, elle m'a dit qu'elle renonçait à y aller. Que s'est-il passé en moi à ce moment là? Je n'en sais rien. J'ai insisté pour qu'elle sorte, en lui disant qu'elle avait déjà promis à Omar (celui qui l'avait invitée) de venir. Elle m'a prié de choisir ses vêtements. Pourquoi? Etait-ce une sorte de consentement qu'elle attendait? Un corsage vert très ajouré, une minijupe blanche fendue sur le devant, un string ficelle transparent, des hauts talons, un maquillage très prononcé, la voilà prête pour sortir. En se regardant dans la glace, elle m'a dit brutalement:
- Je ressemble à une pute, n'est ce pas?
Ma réponse fut une autre question:
- Est-ce que tu vas coucher avec lui?
- Comment veux-tu que je le sache? M'a-t-elle répondu.

Je l'ai embrassée dans le cou et j'ai caressé sa chatte en lui demandant de promettre de tout me raconter à son retour.
Je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Impossible de m'endormir: je bandais en pensant à ce qu'elle pouvait être en train de faire. Je guettais par la fenêtre, sensible à tous les bruits. Enfin, vers une heure trente du matin, elle est rentrée, un léger sourire aux lèvres, quelque peu décoiffée. Je fus le premier à parler:
- J'ai envie de toi.
- Moi aussi, me dit-elle, mais je vais d'abord me laver.
J'avais compris. La saisissant par la taille, je l'ai basculée sur notre lit et j'ai pu constater qu'elle n'avait plus son string.
- Laisse moi me laver! Me dit-elle.
Devant mon refus, elle a pris ma main et l'a guidée vers sa vulve encore toute engluée de sperme. Puis elle m'a regardé droit dans les yeux, me demandant si je voulais toujours. Je me suis roulé sur elle et l'ai pénétrée facilement. Pendant que j'étais en elle, elle m'a fait le récit de sa soirée avec force détails. La verge énorme et puissante de son amant, la pensée qu'elle avait eu pour moi à chaque fois qu'elle avait joui. Sans mouvement, j'ai éjaculé en elle, en pensant que quelqu'un d'autre l'avait fait avant moi. Elle voulait s'excuser, de quoi? De ce que je voulais au fond de moi! Au contraire, je l'encourageai à continuer, mais la prochaine fois en ma présence. Je voulais la voir se faire prendre par un autre mâle que moi. Elle a été surprise, et m'a déclaré ne pas être encore prête pour cela, mais que le moment venu, elle me le ferait savoir. Je lui ai affirmé que ce serait la plus grande preuve d'amour qu'elle pourrait me donner.

Je le savais, les choses ne seraient jamais plus comme avant. Ma femme était devenue plus douce et aimante que jamais. J'éprouvais même du mal à la satisfaire, tant son appétit sexuel s'était décuplé. En voiture, j'étais en érection permanente, excité par ses cuisses largement découvertes et généreusement ouvertes aux regards des piétons et des conducteurs de poids lourds qui dominaient notre voiture. Par moments, je n'arrivais plus à la reconnaître. Elle recevait de nombreuses invitations qu'elle acceptait, après avoir obtenu mon accord. Quatre mois se sont écoulés ainsi. Elle a connu de nombreux hommes, me faisant scrupuleusement le récit de leurs ébats. Bien sûr, notre entourage commençait à jaser. C'était un peu la putain du quartier, mais je me fichais éperdument de ce que pensait le voisinage. Mon désir de la voir "à l'œuvre" augmentait considérablement, et je lui en ai fait part. Elle était prête à céder à mon fantasme. Une première occasion me fut donnée quelques semaines plus tard. Nous étions en boîte de nuit, lorsqu'elle m'a demandé les clés de la voiture en me disant qu'elle sortait prendre un peu l'air. Mais lorsque je l'ai vue franchir la porte, suivie de son cavalier, j'ai décidé que j'allais l'épier.

Dix minutes après, je me retrouvais près de la voiture garée au bout du parking. Je n'ai rien perdu du spectacle qui s'offrait à mes yeux. Le chemisier déboutonné entièrement, les cuisses largement ouvertes, Nadia offrait son sexe aux doigts de l'homme qui était tourné vers elle, et qu'elle masturbait voluptueusement. M'ap

lailatvx - le 08/05/2012 à 07h02
lailatvx - le 10/05/2012 à 07h59

Pas mal

rajoute plus de photo dans tes article

 

Bises

sarah travlope

Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour reprendre ses mots, il a « bien besoin de se vider les couilles ». C’est une des choses qu’il m’a avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant la rencontre de ce soir :

1ère discussion :

LUI : Alors, comme ça, tu cherches quelqu’un de directif et dominant ?
MOI : Oui et ce serait d’ailleurs ma première fois avec un homme. J’espère rencontrer un mâle viril qui saurait prendre les devants pour me soumettre à son plaisir.
LUI : Tu ne serais pas déçu avec moi, tu peux me croire. J’ai une belle bite qui cherche une bouche et un cul à défoncer toute la nuit.
MOI : Si ce n’est pas indiscret, elle ressemble à quoi ta belle bite ?
LUI : Un beau 9 pouces (23 cm), bien épaisse et bien dure.

Après plusieurs autres conversations sur le même ton, au cours desquelles j’ai notamment appris qu’il avait 45 ans (j’en ai 31), qu’il était récemment divorcé et sans enfant, cinq jours ont passé sans que j’aie de nouvelles de lui ou de réponse à mes messages. Jusqu’à ce que :

MOI : Pourquoi est-ce que tu ne me réponds pas ? J’ai fait quelque chose de mal ? Je t’ai manqué de respect ? Si c’est le cas, je m’en excuse et ferai tout pour me faire pardonner ! Tout ce que je souhaite, c'est que tu me soumettes à ta grosse bite, que tu l’enfonces entre mes lèvres quand tu veux et comme tu veux, que tu défonces ma gueule ou mon cul quand ça te plaît. Quand je suis avec toi, je t'appartiens. En passant, au moment où je tape ces lignes, j'ai un plug dans le cul et en l’insérant, j'imaginais que c'était toi qui me l'enfonçais pour bien me préparer à ta queue.
LUI : Je vois que tu es prêt, p’tite pute, et que tu as compris ce que j attendais de toi. J’ai bien hâte de voir si tu seras à la hauteur avec ma queue dans ta bouche. Tu as besoin de tout avaler et ne t’inquiète pas, je vais m’assurer de bien t’enfoncer ton plug pour que tu sois prêt à recevoir ma queue bien dure. Et si tu ne réponds pas a mes exigences, je vais te traiter de tous les noms. Je te veux salope, soumise et p’tite pute. D’ailleurs, dorénavant, tu m’appelles « monsieur » et tu me vouvoies, c’est clair ? Je ne suis pas un de tes potes, je suis celui auquel tu dois obéir. Tu te présentes jeudi soir à ma porte avec ton plug dans le cul. À 20h. Et ne sois pas en retard sinon tu le regretteras.
MOI : Oui, monsieur, je ferai tout pour vous satisfaire. Merci, monsieur.

C’est ainsi que je me retrouve à appuyer sur le bouton de sonnette d’un bungalow de banlieue, avec un plug planté dans les fesses depuis près d’une heure, soit le temps qu’il m’a fallu pour arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma taille (180 cm), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme s’il revenait tout juste de son travail.
Sans un sourire, il dit : « C’est bien, tu es à l’heure ».
Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangés me semblent appartenir à un autre univers et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait aucun refus : « Viens t’asseoir au salon ».
Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort. « Tiens, bois ça ». Même si son ton est posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale me brûle la gorge. « Bois-le au complet. Ça te détendra. » Je me force alors à ingurgiter le contenu du verre et me mets ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je réalise qu’il a posé sa main sur ma cuisse et qu’il la caresse avec fermeté. Un peu comme on caresserait un chien. L’alcool commence rapidement à faire effet : une grande chaleur envahit mon corps, je me décrispe et profite de la caresse que je reçois. Sa main remonte près de mon entrejambe. Une partie de moi trouve que tout ça va trop vite alors qu’un autre tente de me persuader de profiter de l’occasion qui s’offre à moi de découvrir de nouvelles expériences. Et je dois l’admettre : j’ai envie d’écouter cette dernière partie de moi.
Il doit remarquer à mon attitude que je me relaxe, car il prend ma main et, sans dire quoi que ce soit, en fixant ses yeux bleus dans les miens, il la pose sur sa braguette. Contrairement à ce que son calme olympien suggérait, je sens une bosse sous mes doigts, ce qui m’incite la tâter avec application. Après seulement quelques secondes, une barre distend son pantalon. Je suis fier de moi. Je l’excite.
Il prend alors mon menton de sa main et me tourne la tête vers lui. Au moment où j’entrouvre mes lèvres, m’attendant à un baiser, il enfonce deux de ses doigts dans ma bouche et les fait aller et venir doucement, presque langoureusement.
- Oui, c’est ça, ma belle, me murmure-t-il. Suce-les et lèche-les comme tu vas sucer et lécher ma bite très bientôt. »
Ses doigts se retrouvent rapidement recouverts de salive tandis que je m’efforce de ne pas cesser de caresser sa queue à travers son pantalon. Ma soudaine féminisation me pousse à mettre davantage d’ardeur à double travail
- Tu en veux un troisième ? Me demande-t-il, sans doute satisfait de mon entrain. Sans attendre de réponse, il ajoute son annulaire à son majeur et son index et continue de me fouiller la bouche. Je vais bien te préparer la gueule, tu vas voir, ajoute-t-il en augmentant la cadence de ses mouvements. Un filet de bave s’étire maintenant de mes lèvres distendues à mon chandail, mais il ne ralentit pas pour autant.
Soudain, après avoir brièvement ajouté un quatrième doigt qui a de la difficulté à se frayer un chemin dans ma bo

lailatvx - le 11/05/2012 à 06h21

est elle comme toi ? Prend elle par le cul? et si oui le fait elle souvent ?

spermo - le 17/05/2012 à 15h06

Oui elle ce laisse prendre par le cul mais qu'avec des inconnus et tendre avec elle

car moi je n'ai pas le droit

 

sarah travlope